LA SECONDE VIE DES PIEDS-NOIRS EN FRANCE, de 1962 à nos jours

L’ARRIVÉE, UNE FORMALITÉ PAS SI SIMPLE

L’arrivée, une formalité pas si simple. « J’avais le sentiment de débarquer sur la lune »

L’arrivée, une formalité pas si simple. « Ils osent à peine voir […] ces docks giflés par le mistral »

L’arrivée, une formalité pas si simple. « Mes parents avaient des biens […], ils ont tout perdu »

L’arrivée, une formalité pas si simple. « Un certain progrès sur le néant et l’arbitraire »

L’arrivée, une formalité pas si simple. « Ils ne reçoivent [les prestations] qu’après plusieurs semaines de démarches déprimantes »

Liberté, Égalité… Animosité

Liberté, Égalité…Animosité. « LES PIEDS-NOIRS,RENTREZ CHEZ VOUS !  

Liberté, Égalité…Animosité. « L’ACCENT EST TRÈS MARQUANT, COMME UNE COULEUR DE PEAU »

Liberté, Égalité… Animosité. « LES MARSEILLAIS NOUS REGARDAIENT COMME DES BÊTES CURIEUSES »

Liberté, Égalité…Animosité. « QU’ILS AILLENT SE RÉADAPTER AILLEURS ET TOUT IRA POUR LE MIEUX »

Liberté, Égalité…Animosité. L’ASSOCIATION FAIT LA FORCE

Liberté, Égalité…Animosité. « L’ÉGLISE A FAIT APPEL À LA SOLIDARITÉ NATIONALE »

Liberté, Égalité…Animosité. « LA FRANCE DOIT OFFRIR À SES ENFANTS LE SECOURS DE LA COMMUNAUTÉ »

Liberté, Égalité…Animosité. Le Château de France et son mobilier « Louis-Caisse »

Les indemnisations : un casse-tête au long cours

D’ALGER À PARIS, ILS TIENNENT LE HAUT DE L’AFFICHE

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Roger Hanin, dans la peau de Navarro

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche.Patrick Bruel, du sirocco au vent de folie

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Alain Afflelou, les yeux vers Mascara

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Henri Borgeaud, « le Seigneur » privé de royaume

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Yves Saint Laurent, des gorges d’Algérie aux défilés de mode

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Les lettres de noblesse de Paul Robert

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Marcel Demonque, un patron qui ne laisse pas « béton »

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Daniel Auteuil, les gazouillis du roumi

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Isidore Partouche, le roi du casino

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Marlène Jobert, la fille de Birkhadem

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Jean-François Poupinel, un homme de réseau

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Jean-Claude Beton, secoués de père en fils

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Jean-Pierre Bacri, le génial grincheux de Castiglione

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Georges Blachette, le colon déchu

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Étienne Daho, aussi breton qu’algérien

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Paul Belmondo, façonné à Alger

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Laurent Schiaffino, dans les remous de l’indépendance

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Jean Daniel, l’observateur camusien

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Guy Bedos, l’humoriste à l’enfance triste

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. Eux aussi sont nés en Algérie

D’Alger à Paris, ils tiennent le haut de l’affiche. André Carrus, Tiercé gagnant !

DE L’ALGÉRIE AU RESTE DU MONDE

J’Y SUIS, J’Y RESTE…

UN ÉTAT À CONSTRUIRE

LA COULEUR POLITIQUE DES PIEDS-NOIRS

LA MÉMOIRE DANS LA PEAU

LA TENTATION DU RETOUR

LE CHOC DES GÉNÉRATIONS

BOUILLON DE CULTURE. LIVRES

BOUILLON DE CULTURE. ASSOCIATIONS

BOUILLON DE CULTURE. FILMS

REMERCIEMENTS